
Je vois parfois passer sur Instagram que vous voyez souvent les mêmes livres. Alors je dégaine celui-ci, peu médiatisé et peu vu sur les réseaux sociaux.
L’histoire se résume en une phrase : un homme lance sa maison d’édition, avec pour seul critère qu’il faut que le texte soumis soit le dernier de l’auteur ou de l’autrice. Bref, il faut que ces derniers soient morts ou s’engagent à ne plus écrire.
Et maintenant, c’est l’heure de sortir les rames car j’ai bien aimé ce livre mais avec un résumé pareil, ça va être compliqué de vous convaincre.
Alors, oui, il est bien. Vraiment. Ok, la fin dure peu trop longtemps, on aurait pu s’arrêter 30 pages avant mais toutes les autres pages valent le coup.
L’autrice passe du temps à nous introduire les personnages. C’est fait avec délicatesse, si bien que l’on s’attache à eux très vite. Le vocabulaire est fluide et riche. Ce sont les deux grandes forces du roman. L’histoire est sympa, avec un petit retournement comme on les aime.
Bref, si vous voulez lire un livre discret mais qui fait plus que le taff, foncez !
(Mais avant dites-moi que je ne me suis pas plantée et que vous ne connaissiez pas !)