
Quand elle est visée par une flèche de l’empereur, Julia ne bouge pas d’un millimètre. Non, elle soutient le regard. Elle est comme ça. Face au danger qui menace, face aux tempêtes de sable qui griffent le visage et aux menaces qui pèsent sur sa famille, elle reste déterminée, son objectif en tête : faire de son mari l’empereur de demain.
Comme Julia, on vit dans la Rome antique le temps de quelques pages. On se surprend à vouloir grappiller des olives à moitié étendu sur un divan, à battre la terre des sandales aux cuir aux pieds et à s’endormir, la tête pleine d’envie de conquêtes. Mon prof de latin aurait été bien content de voir mon enthousiasme. Quel enfer de se lever le matin et de devoir délaisse des drapés immaculés pour un banal et bien trop contemporain jean. Alors offrez vous un voyage dans le temps : lisez Moi, Julia.
Vous l’avez repéré, lu, aimé ?