
Patience. C’est ce que l’on conseille a Hindou qui doit épouser son cousin, buveur et violent. Patience. C’est ce que l’on intime à Ramla, qui doit épouser un homme déjà marié. Patience. C’est ce à quoi on exhorte Safira, qui doit accueillir chez elle la nouvelle épouse, plus jeune et plus pâle, de son mari. La patience devient une vertu, que l’on appelle en brandissant le nom d’Allah et l’honneur de la famille. Le choix déguisé, plutôt que la soumission affichée. Lui frappe, trompe, humilie. Elle se doit de se taire, piégée entre la solitude et les menaces. L’engrenage a pris au piège des générations de femmes qui doivent se plier à ce que des hommes ont décidé pour elles. Certaines réussissent à s’en échapper, mais doivent sacrifier les leurs sur l’autel de leur liberté. Sidérant. Enrageant.
Et vous, vous l’avez lu ce texte ?
Un thème malheureusement encore bien trop d’actualité!
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Hélas ! Il faut continuer le combat ✊
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