
Joseph était un enfant ordinaire. Des parents aimants, une sœur insupportable, des leçons de piano obligatoires. Et il y a eu l’accident. Plus de Joseph, seulement un orphelin. Il a rejoint les confins. Un orphelinat qu’un sans-cœur et qu’une brute dirigent, à coups de punitions et d’humiliations. Un monde où règne le chacun pour soi. Parce que se choisir, c’est s’accorder de la valeur.
L’écriture de Jean-Baptiste Andrea est très visuelle. Les images de ce quotidien vacillent entre les lignes. Il manie la lumière et l’obscurité avec brio, fuit la simplicité, souligne l’humain.
J’ai beaucoup aimé le récit des moments passés à l’orphelinat, tellement, que j’avais du mal à me laisser embarquer dans les scènes qui se déroulent à l’extérieur. Les personnages rêvaient de sortir des Confins et moi d’y retourner. En auraient-ils ri ou pleuré ?
Et vous, vous l’avez lu, aimé ?
[…] Rien ne s’oppose à la nuit (lu en lecture commune avec @leslivresdelucette et @lrnt_ju ) Des diables et des Saints, Oscar. Les deux livres japonais lus dans le cadre du challenge @autricesdumonde du monde m’ont […]
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