
Le Parti fondamentaliste à réussi à les faire taire. Désormais les femmes sont limitées à 100 mots par jour. Même pas de quoi partager une recette de cuisine avec une amie. Jean McClellan est soumise au même régime que les autres. L’ancienne neurochirurgienne ne travaille plus, voit ses enfants grandir dans un monde sexiste, ne peut montrer un autre modèle à son fils qui considère ce monde comme la norme et entend les silences de sa fille qu’elles ne peuvent rompre.
Malgré le compte-mot qui marque sa peau au fil des mois, Jean McClellan jouit d’un avantage : même sans activité, elle est toujours considérée comme la meilleure neurochirurgienne du pays. Et le Parti a besoin d’elle.
J’ai bien aimé le thème qu’aborde cette dystopie et le personnage principal. La vie de la famille est crédible, l’histoire aussi. Le texte est écrit de manière à être très visuel, ce qui permet d’entrer facilement dans l’histoire qui tient la route. J’ai toutefois une petite réticence, j’aurais aimé que le thème soit creusé plus longtemps ou alors que l’autrice prenne le parti pris de se concentrer davantage vers ce que représente le groupe de personnes de la fin. (Difficile d’évoquer ces deux points sans spoiler).
Vous l’avez lu ? Qu’en avez-vous pensé?
[…] l’aurais crû. J’ai adoré Les Contes de Beedle Le Barde, Rouge Pute, Fille. J’ai bien aimé Vox, Un Monde à portée de main, L’Âge de lumière, La Femme révélée, Saison 1 (qui […]
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