Cette chronique sera directe, ceux qui me suivent depuis un moment ont deviné la suite de ce post : je n’ai pas été convaincue. Et pourtant ! Le sujet m’intéresse follement, que ce soit soit l’aspect alimentation ou environnemental (je suis dans une démarche zéro déchet, je mange peu de viande par écologie, je lutte contre la surconsommation, suis une adepte des achats d’occasion…). Je trouve la thèse initiale très intéressante ; nous sommes en guerre, chaque geste citoyen compte, en l’occurrence adopter une alimentation la plus respectueuse de l’environnement, c’est nécessaire bien qu’insuffisant, seulement nous avons du mal à le faire car nous ne pouvons croire à ce qui est et à ce qui va se passer.
Seulement la démonstration ne m’a pas convaincue; certains arguments sont alambiqués, il y a des répétitions, une métaphore absolument pas subtile traînée tout en longueur. Il aborde différentes idées censées abreuver sa théorie mais certains parallèles sont grossiers selon moi. La forme elle-même ne fonctionne pas selon moi, j’ai eu l’impression d’une multiplication des formats sans réelle pertinence. Je n’ai pas trouvé ce que j’attendais dans ce livre. J’ai eu l’impression que l’auteur surfe sur le succès de son précédent livre (faut-il manger les animaux ?) mais qu’il n’a rien de plus à ajouter sur le sujet. Dommage.
C’est en tout cas un livre qui divise beaucoup, il en a convaincu plus d’un alors n’hésitez pas à consulter d’autres avis. Si vous l’avez lu, dites-moi en commentaire ce que vous en avez pensé. Si vous avez en tête des documents intéressants sur ce sujet n’hésitez pas à les partager.
[…] termine par L’avenir de la planète commence dans notre assiette qui a été extrêmement pénible à lire. Bref, voilà pour ce bilan lecture du mois, finalement […]
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